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Un arrêt de travail mal déclaré peut coûter cher

Quand on est indépendant, un souci de santé peut rapidement mettre en péril sa stabilité financière. C’est là que la prévoyance entre en jeu. Mais pour bénéficier de ses garanties, encore faut-il bien déclarer son arrêt de travail.

Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter, et nos conseils pour une déclaration efficace.


Ne pas prévenir l’assureur dans les délais

La majorité des contrats de prévoyance impose un délai de déclaration à respecter, souvent de 5 à 10 jours ouvrés. Un retard peut entraîner un refus de prise en charge. Contactez votre assureur dès que vous avez connaissance de votre arrêt.


Oublier des pièces justificatives

La déclaration doit être accompagnée de documents obligatoires comme :

  • Le certificat médical initial d’arrêt de travail
  • Le justificatif de votre statut professionnel
  • Les bulletins d’indemnités journalières versés par la CPAM (le cas échéant)

Sans ces éléments, votre dossier restera incomplet… et donc non indemnisé.


Ne pas vérifier la franchise du contrat

La franchise est le nombre de jours non indemnisés en début d’arrêt. Si vous avez une franchise de 15 jours, vous ne toucherez rien avant le 16e jour. Il est donc essentiel d’en tenir compte dans vos attentes.


Déclarer un arrêt sans respecter les conditions médicales

Un simple repos conseillé par votre médecin ne suffit pas toujours. Il faut une interruption temporaire de travail médicalement constatée, avec un arrêt formel. Un « congé de repos » ou « congé sans arrêt » peut ne pas être reconnu par l’assureur.


Confondre arrêt professionnel et arrêt personnel

Les arrêts liés à des motifs personnels (ex. : congé sans activité, arrêt non médical) ne sont pas couverts. La prévoyance est liée à votre activité professionnelle : la cause de l’arrêt doit avoir un impact direct sur votre capacité à exercer.


Mal anticiper la durée d’indemnisation

Certaines personnes pensent être couvertes sur toute la durée de leur arrêt. En réalité, l’indemnisation est plafonnée dans le temps : parfois 30 jours, 90 jours ou jusqu’à 3 ans selon les garanties. Mieux vaut le savoir à l’avance.


Ne pas suivre le protocole de suivi médical

Une prolongation d’arrêt nécessite un certificat de prolongation. De même, certains contrats exigent des visites de contrôle, ou l’envoi régulier de justificatifs médicaux. Ne pas s’y soumettre peut interrompre le versement des indemnités.


Ce que Simplis vous propose

Chez Simplis, nous accompagnons les indépendants avec des offres de prévoyance adaptées, simples à comprendre et conçues pour les besoins réels des freelances et auto-entrepreneurs :

  • Une indemnisation rapide et claire en cas d’arrêt de travail
  • Des conseillers spécialisés pour vous guider dans la déclaration
  • Des garanties lisibles pour ne pas avoir de mauvaise surprise

Prévoyance TNS : pourquoi elle est essentielle

En tant que travailleur non salarié (TNS), vous dépendez du régime général de la Sécurité sociale… mais ses indemnités journalières sont souvent insuffisantes pour maintenir votre niveau de vie en cas d’arrêt de travail prolongé.

C’est pourquoi une prévoyance TNS adaptée est indispensable :

  • Elle complète les indemnités de la CPAM pour compenser la perte de revenus
  • Elle peut couvrir l’incapacité temporaire, l’invalidité et même le décès
  • Chez Simplis, la prévoyance TNS est conçue pour s’adapter à votre statut et à votre chiffre d’affaires, sans surcoût inutile

Bon à savoir : certaines professions libérales ne perçoivent aucune indemnité de la Sécurité sociale en cas d’arrêt temporaire. Une prévoyance privée devient alors leur seul filet de sécurité.


Conclusion : anticiper, c’est mieux se protéger

Un arrêt de travail peut arriver à tout moment. En évitant les erreurs de déclaration et en choisissant une prévoyance TNS bien calibrée, vous vous assurez une continuité de revenus, une protection durable, et une tranquillité d’esprit bienvenue.

Avec Simplis, soyez bien accompagné à chaque étape.